Nous avons enfin, depuis hier lundi, le résultat du tirage au sort pour le championnat de la Ligue des champions. Deux clubs de nos chers voisins français sont encore en lice, et si le PSG profite d’un bon tirage avec un adversaire plutôt fragile, Lyon quant à lui devra bien plus lutter pour tenter de décrocher son ticket…
Au final, Paris évite le pire avec Manchester United, alors que Lyon hérite quant à lui de l’ogre Barça. Ce sera l’ancien joueur espagnol Luis Garcia qui présentera alors le nom du Paris-Saint-Germain lors du tirage au sort des 8es de finale de la Ligue des champions, le 17 décembre 2018 à Nyon en Suisse. Les cotes s’agitent déjà sur Ladbrokes pour ces affiches alors que les rendez-vous de ces prochaines affiches sont fixés à partir de février 2019.
Enfin, on peut dire heureux pour certains, mais pas forcément pour d’autres. Le Paris SG, qui est en fait l’un des deux représentants français encore en lice en Ligue des champions avec Lyon, jouera son huitième de finale contre Manchester United. Un adversaire qui est aujourd’hui plutôt mal en point en Premier League. Une aubaine pour le club parisien qui a vu donc le tirage au sort lui être plutôt favorable hier à Nyon en Suisse.
D’un autre côté, on retrouve une équipe de Lyon qui s’en sort un peu moins bien au tirage puisque l’OL a hérité en fait d’un gros morceau avec le féroce et redoutable FC Barcelone. Lyon affrontera donc le champion d’Espagne sortant et surtout candidat déclaré à la victoire finale selon de nombreux sites de paris sportifs en ligne.
Il est temps de noter dans votre agenda que les principales affiches des rencontres de ce championnat se disputeront en février et en mars prochain. Elles opposeront l’Atlético Madrid à la Juventus Turin de Cristiano Ronaldo, et Liverpool au Bayern Munich.
On est donc en droit de se demander si la malédiction espagnole va faire place au porte-bonheur anglais…En effet, on a pu assister à une funeste « remontada » de 2017 contre le Barça avec une victoire 4-0 à l’aller et une défaite 6-1 au retour. Sans oublier la leçon du Real en 2018 avec des victoires 3-1 à l’aller à Madrid et 2-1 au retour. Il ne fait aucun doute que Paris tremblait un peu avant le tirage au sort et voulait absolument éviter un troisième géant espagnol à ce stade de la compétition et donc fuir comme la peste l’Atlético Madrid.
C’est donc un très bon tirage pour le champion de France qui échappe pour le coup au club madrilène et qui, terminant premier de son groupe « de la mort », a surtout réussi à éviter les principaux favoris du championnat. Il n’affrontera pas en effet des clubs comme la Juventus Turin de Cristiano Ronaldo, ou encore le club de Manchester City de Pep Guardiola ou encore le Barça et enfin le Real, triple tenant du titre.
En effet, on retrouve donc le club anglais de Manchester United, qui est alors triple vainqueur de la prestigieuse compétition européenne, finalement sur la route de Paris. Un adversaire qui a beaucoup perdu de son lustre depuis le départ de son entraîneur mythique Alex Ferguson en 2013.
Le club de Lyon est quant à lui condamné à « l’exploit » face au Barça. Celui que l’on peut qualifier comme étant le compatriote du PSG, sera au contraire condamné à « l’exploit » face au Barça de Lionel Messi s’il espère intégrer le Top 8 européen.
Bruno Genesio, l’entraîneur lyonnais déclarera et surtout préviendra en conférence de presse : « Il faudra faire deux exploits, un à l’aller et un au retour, mais on peut le faire. On l’a fait contre Manchester City. Barcelone, c’est une histoire plus importante que City en Coupe d’Europe et ça compte. On va retrouver Sam Umtiti, défenseur français du Barça formé à Lyon, et ça fait plaisir. On peut faire des plans, mais, contre un génie comme Lionel Messi, ils sont déjoués. Et il y a d’autres grands joueurs au Barça. Il faut être à 100-150% contre eux. ».
Mais un problème de taille touche l’OL avec un Nabil Fekir, qui s’est montré comme un héros lors de sa première qualification au 2e tour de la C1 après sept ans d’absence, sera suspendu pour le match aller…Une raison de se demander si pour le coup cela ne serait pas finalement une mission impossible pour l’OL ?
Quoi qu’il en soit, nous vous conseillons de surveiller les cotes de toutes ces affiches et vous donnons donc rendez-vous en février et mars 2019 pour savoir si vous avez misé juste sur la bonne équipe et surtout le bon champion sur des sites comme betFIRST.